Décidément,
en déjà deux années
de bonheur partagé avec vous,
j'aurais été comblée
Ce blog m'aura permis de faire de belles rencontres
avec des personnes proches ou très éloignées géographiquement parlant.
( n'est-ce pas Marie-Pierre ! On prend les mêmes et on recommence ! )
la dernère en date fut Tataze,
et sa charmante famille,
link
que nous avons eu ,
Calou link
et moi,
l'honneur et la joie de rencontrer mardi dernier.
Je tiens d'ailleurs à les remercier
d'une part d'avoir répondu présent(e)s à cette invitation
un peu beaucoup improvisée
(d'ailleurs c'est promis, Lilou, Clara et les autres,
on compte bien remettre ça,
mais cette fois-ci on s'organisera un peu plus à l'avance...)
et d'autre part pour leur magnifiques cadeaux,
MERCI CALOU !
MERCI TATAZE
vous pourrez voir ceux que je leur ai offert sur leurs blogs respectifs.
Exceptionnellement,
le gîte étant libre,
nous avons profiter de la terrasse
( le soleil n'était pas aussi en forme que sur cette photo,
mais après le déluge de mardi matin,
nous avons eu beaucoup de chance !)
puis nous avons emprunté le chemin Henri IV
pour aller voir quelques brebis
et admirer la vue d'un peu plus haut
Je tiens aussi à rectifier, auprès de mes invités,
une erreur de ma part,
certainement dûe aux effets du Jurançon,
le lac de Lourdes est bien un lac naturel,
et non artificiel.
C'est le seul lac glacière de basse altitude dans cette partie des Pyrénées,
il est formé par l'accumulation de l'eau derrière la morraine
de l'ancier lac glacier d'Argelès ( gave de Pau )
il a perdu une partie importante de sa superficie initiale
maintenant devenue une zone marécageuse
nommée " la tourbière"
et protégée en tant que site Natura 2000.
( altitude 422m, superficie 52 ha, profondeur 12m ).
Ce lac est aussi souce de légende
que je vous invite à découvrir :
Ce lac eut, pendant très longtemps, une sinistre réputation. On disait même que, quand un malheureux s'y noyait, son âme restait prisonnière au fond du lac. Une légende raconte qu'autrefois, à l'emplacement du lac de Lourdes, s'élevait une cité dont les habitants étaient si méchants et pervertis que Dieu décida de la détruire et d'engloutir toute la population. pourtant, il accepta de faire une exception pour une famille qui s'était montrée de tous temps pieuse et charitable. Le soir qui précéda la destruction de la ville, un envoyé de Dieu se présenta à l'homme et lui dit : «Cette cité sera détruite par le Seigneur. Prends avec toi ta femme et tes enfants et fuis loin d'ici ! Mais n'oublie pas une chose : quoi que vous entendiez, vous ne devrez vous retourner pour voir ce qu'il se passe.»
La famille quitta donc la ville. Et à peine en avaient-ils franchi les limites qu'ils entendirent des bruits épouvantables derrière eux. L'homme pressait les siens, les obligeait à marcher plus vite et leur répétait qu'ils ne devaient, sous aucun prétexte, se tourner en arrière. Or, sa femme, portant dans ses bras son dernier-né, prise de curiosité et voulant absolument savoir ce qu'il se passait, se retourna et fut aussitôt changée en une statue de pierre.
Depuis lors, certains soirs de novembre, des chasseurs et des pêcheurs attardés au bord du lac, affirmaient entendre le glas des cloches englouties sonnant l'anniversaire du châtiment.
Il existe en bordure de la route de Poueyferré, à la limite des communes de Lourdes et Bartrès, un grand bloc de pierre (peut-être un ancien mégalithe) appelé la «Peira Crabèra, incliné dans la diection du lac dont la légende affirme qu'il s'agit de la femme qui avait été pétrifiée quand elle fuyait la ville.
Cette légende n'est pas sans rappeler l'histoire de Sodome et Gomhorre et de la femme de Loth qui, elle aussi, avait été changée en pierre.
d'après Pyrenepeche
pour plus d'infos
n'hésitez pas à cliquer ici : link
Désolée pour la longueur de ce billet,
Excellent week-end à tous et toutes
et encore MERCI de me suivre
dans mes petites et grandes aventures...